Cette histoire n'a pas de morale, et ne prétend pas en avoir une, car on n'est pas à Hollywood. De toute manière, vous allez fermer cet écran et recommencer à courir après l'argent et la réussite sociale (qui ne signifie pas "réussite de la société", bien au contraire)
NB : la fin que vous avez lue aux pages précédentes n'est pas la seule fin possible. Si elle ne vous plaît pas, vous pouvez en changer en retournant modifier votre réponse sur la nature exacte de Plouf lors de son entreprise de connaissance de soi.
Remerciements :
- à l'Amstrad 6128+ sur lequel ce jeu a d'abord été conçu, même si cette machine était déjà complètement dépassée depuis plus de dix ans lorsque Plouf a été créé. Au moins son potentiel était exploité à fond et le jeu permettait de multiples variations, dépendant des pages par lesquels vous êtes passé(e) avant, des souffrances déjà infligées et des objets ramassés, ce qui évite la logique binaire du vivant/mort d'un coup et certaines morts un peu brutales dans la version que vous venez de terminer. Compensation forcée à l'existence du bouton "page précédente" sur votre navigateur, sur lequel vous n'avez évidemment pas hésité à appuyer pour tricher (Ne niez pas, je vous ai vu). Tout çà pour prouver de manière tout à fait objective1 qu'une technologie moderne n'est pas forcément meilleure en tout qu'une ancienne.
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Si on occulte le fait qu'écrire du texte sur Amstrad est une galère, qu'il ne connaît pas l'accent circonflexe, que le jeu met trois heures à charger, et que j'ai été contraint à diviser Plouf en trois programmes indépendants avec mots de passe bourrins parce qu'il prenait beaucoup trop de place !
- à Stéphane Arnoud, dont les vues très précises sur la tenue d'une histoire et l'interprétation personnelle qu'il faisait de Gotlib (censé être réaliste...) ont inspiré le personnage de Superstéphane.
- à mes anciens professeurs de philo dogmatiques, ceux qui croyaient aux Tortues Ninja et ceux qui n'y croyaient pas.
- à tous les personnages de ce jeu, de Tarek au Pr d'Ouran, de De Gaulle à Kurt Cobain, de Dieu à Jack l'Eventreur, des douaniers au grand gourou Nadour...
- à tous ceux qui veulent qu'on les remercie.
- Et depuis quand je remercie des gens, moi ?
Vous voici placé(e) devant une alternative douloureuse :
Retourner au début du jeu afin d'explorer d'autres pistes, ou revenir à la page principale.
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La terrible épreuve de Marie-Ghislaine, qui doit faire ses courses elle-même en raison du départ de sa femme de ménage.