Plouf se protège du vent derrière le pare-brise de sa trottinette (Pas de remarques... Faites-nous confiance !) et attend ainsi la fin de la tempête de sable. Il reprend finalement la route six heures plus tard et arrive devant une piste assez fréquentée, s'il on en croit les marques sur le sol. A son bord, il aperçoit une oasis qui s'étend autour d'un superbe lac.